Documents photographies anciennes

Les différents maires de Payra de 1790 à nos jours

Travaux des champs

A l’entrée du village, aujourd’hui rue de la mare dite de Jaquetou, direction  Lacassaigne, se trouvait la famille Picarel propriétaire-exploitant de quelques hectares de terre à Pontaris, Barthez et autres parcelles, décimées, dans différents lieux de la commune avant le remembrement de la fin des années 60.

Sur ces photographies de la première moitié du 20ème siècle, nous voyons Jacqueline Espitalier ep Bousquet et son oncle Jacques Marie Picarel dit Jaquetou avec ses deux boeufs Mulet et Marel, et la moissonneuse lieuse, toujours sous le hangar.  

 Le dépiquage: sur la photographie ci-dessus nous apercevons les bœufs sur le terrain, le sol, tirant un meule pour séparer le grain de la paille.

Hier le café de Colombe

Dans notre village il y avait deux cafés, celui de Colombe et celui d’Alice. Grâce à Marcelle, fille de Colombe, nous avons pu avoir une photographie de ce lieu devenu la maison de la famille Laffont- Daré.

Ce lieu convivial avec flipper et baby foot était fréquenté par jeunes et moins jeunes.

Devant la porte du café de l’Union, sur le banc, Colombe assise, vêtue de noir avec à ses pieds des canards qui circulaient librement sur la place du château.

A côté de la porte nous apercevons également un harnais.

Parfois de rares et belles voitures pouvaient être aperçues devant l’établissement. 

Les villageois en 19.. on reconnait Justin, Simon, la mairesse, Pierrot, Juliette, Gilles , Bébert ……..

Le canton de Salles sur l’Hers depuis l’organisation des départements et des cantons en 1790.

Les cantons furent supprimés une première fois en 1793 mais très vite rétablis en 1795.

En 1801 le nombre de cantons passe de 4824 à 2916. Ce nouveau découpage est effectué sur la base d’une aire géographique et non plus sur une aire démographique.

Plus de 60 °/o des cantons n’ont jamais été modifiés avant la réforme de 2013.

Hier, le canton de Salles sur l’Hers était composé de 14 communes:

Baraigne, Belflou, Cumiès, Fajac la Relenque, Gourvieille, La Louvière Lauragais, Marquein, Mézerville, Molleville, Montauriol, Payra sur l’Hers, Sainte Camelle, Saint Michel de Lanès et Salles sur l’Hers.

Après la réforme territoriale de mars, le Canton de Salles sur l’hers n’existe plus,les communes de l’ancien canton ont été incluses dans le canton de La Piège au Razès ( Canton de Bram), actuellement ce canton de Bram est composé de 72 communes.

Séance du 17 mai 1945

Installation du Conseil Municipal suivi de l’élection du maire et du 1er adjoint

Le Conseil Municipal réuni le 17 mai 1945 a mis dans sa séance le voeu suivant. Issu du suffrage universel et interprète de la volonté populaire assure le gouvernement provisoire de la République de son attachement aux institutions démocratiques Fidèle à l’esprit de la Résistance qui a libéré la patrie et restauré la République demande au gouvernement l’application immédiate du programme du Conseil National de la Résistance.

Association Les Amis du Bon Vin

Notre village Payra est riche de plusieurs associations qui œuvrent pour l’intérêt général, pour le bien vivre ensemble, pour le bonheur de la population. 

Nous avons un comité des fêtes actif, une association « le club des 4 saisons », mélange de générations, 

une association « Les Chemins retrouvés » qui propose des balades, des randonnées, 

une association Clocher et Pierres d’Antan pour la défense du patrimoine en général et pour notre église en particulier,

une association des parents d’élèves de l’école

et une association de chasse

Déjà en 1900 des hommes de Payra avaient créé une association dont le but essentiel était la Tempérance, la Tolérance et l’union des villageois quelque soit leur opinion politique ou religieuse.

La fontaine de Rivel (archives départementales de l’Aude)

Sur la photographie du clocher de l’église nous apercevons l’emplacement de l’horloge  qui en 1894 était complètement détraquée voir compte rendu de séance du Conseil Municipal ( archives Départementales de l’Aude) 

Sur la photographie du clocher de l’église nous apercevons l’emplacement de l’horloge  qui en 1894 était complètement détraquée voir compte rendu de séance du Conseil Municipal ( archives Départementales de l’Aude) 

Les problèmes avec la Poste étaient déjà existants dès 1905. 

Délibération du Conseil Municipal de 1905  Archives Départementales

La Piège en 1938

2018 est l’année des 100 ans de la fin de la guerre qui a dévasté l’Europe faisant des millions de morts et de blessés. Notre petit village Payra sur l’Hers a payé un lourd tribut, plus de 80 personnes jeunes et moins jeunes ont été mobilisés pour cette guerre la plus meurtrière et la plus sanglante.

L’Instituteur M.Caunes nous a laissé des écrits riches d’enseignements notamment la liste des mobilisés pendant toute cette période.

Liste des Mobilisés

  • 1.ALBOUY Jean 30 ans Brésil Blessé
  • 2.ALBOUY Joseph 26 ans Village
  • 3.BERLAND Célestin 38 ans La Tour
  • 4.CALMON Jean Marie 31 ans La Grange Blessé Mulhouse
  • 5.CALMON Justin 33 ans La Grange
  • 6.CAZANAVE Antoine 35 ans La Piboulette
  • 7.DEUMIE JJoseph 26 ans Gauzy
  • 8.DEUMIE Louis 22 ans Gauzy
  • 9.FERRASSE Jean Marie 28 ans La Grange Blessé
  • 10.FIOLE Alphonse Buc
  • 11.FIOLE Calisete Buc
  • 12.FIRMIN François 35 ans La Jasse
  • 13.GALY Jacques 18 ans Gauzy Engagé volontaire
  • 14.GALY Paul 41 ans Château
  • 15.GLEIZES Marius 31 ans Village
  • 16.GLEIZES Raymond 41 ans Tourneri garde voie 45 j
  • 17.GUILHEM Baptiste 28 ans Bergerie Blessé éclat d’obus
  • 18.GUILLEMAT Joseph 21 ans Les madières Tué à Dieuze
  • 19.LAFFON André 21 ans Mounoï Tué le 27/07/1915
  • 20.LAFFON AUGUSTE 25 ans Village
  • 21.LAFFON Léon 23 ans village
  • 22.LAFORE Alphonse 25 ans St Guitou Blessé à Haut du bois
  • 23.LOUBES Joseph 38 ans cantonnier rentré en 1915
  • 24.MANEVILLE Antoine 21 ans Pati engagé volontaire
  • 25.MATHIEU Joseph 24 ans Lestrade Blessé
  • 26.MELET Jules 41 ans La Mandre rentré en 1915
  • 27.MELLET Baptiste 39 ans cantonnier
  • 28.MILHAU Charles 45 ans village
  • 29.MILHAU Marcelin 41 ans Village 2js Service
  • 30.MISSE Celestin 30 ans La Peguille
  • 31.MOLINIER Trophine 36 ans village
  • 32.MONS Gilbert 26 ans Bernat Marty Blessé
  • 33.MONS Jules 20 ans Buc Cité à l’ordre du RGt
  • 34.MONTECH Abel 39 ans Payranel Tué Maroc
  • 35.NAUDINAT Maurice 42 ans Actif à Carcassonne Blessé décédé 12/06/1916
  • 36.PENNAVAIRE Auguste 21 ans Mounoï Blessé
  • 37.PENNAVAIRE Celestin 24 ans Village Blessé Disparu
  • 38.PENNAVAIRE Eugène 25 ans village Disparu
  • 39.PENNAVAIRE Francois 29 ans Village
  • 40.PENNAVAIRE Pierre 45 ans Bonnepause Garde voie 45j
  • 41.POUDENSAN Jules 39 ans Brésil
  • 42.RAMPLOU Louis 23 ans Lestrade   engagé en 1911
  • 43.RATABOUIL François 42 ans Guilhem Marty garde voie
  • 44.RATABOUIL Pierre 39 ans Guilhem Marty garde voie Maroc
  • 45.RAYMOND Jean 38 ans Versailles garde voie Maroc
  • 46.RIGAUD Eugène 27 ans La Tour
  • 47.RIGAUD Joseph 22 ans La Tour Disparu
  • 48.RIGAUD Paul 24 ans La Tour
  • 49.RIVIERE Louis 40 ans Mounoï Décédé
  • 50.ROUQUET Joseph 24 ans Village amputé jambe Serbie
  • 51.ROUX Louis 22 ans Village Blessé
  • 52.SAURY Edmond 23 ans Barthès Blessé Croix de guerre
  • 53.SAURY Elie 26 ans Village Blessé
  • 54.SAURY Jean Marie 21 ans Brésil Tué le 26/08 Vosges
  • 55.SERRES Camille 21 ans Bordeneuve Tué à Landrecourt
  • 56.SERRES Urbain 24 ans Bordeneuve
  • MOBILISES (suite)
  • Décembre 1915
  • 1.MANEVILLE Pascal fut atteint par les gazs asphyxiants
  • Avril 1916
  • 2.BASTOUIL Jean classe 1903
  • 3.ALBOUY Jean classe 1916
  • 4.FIOLE Théophile classe 1916
  • 5.ALOUEGE François classe 1889
  • 6.ANGLADE Jean classe 1884
  • Juin 1916
  • 7.POMIES Eugène classe 1884
  • Septembre 1916
  • 8.BASTIDE Marius Classe 1915
  • Janvier 1917
  • 9.FERRASSE Jean classe 1917
  • Février 1917
  • 10.NAUDINAT Hippolyte classe 1892
  • Août 1916
  • 11.ALAUX François classe 1914
  • 12.PICAREL Jacques classe 1915
  • 13.MONS Adolphe classe 1915
  • 14.GUILLEMAT Germain classe 1916
  • 15.BELMAS Eugène Classe 1916
  • 16.ROUQUET Louis Classe 1916 Mort à Payra 24 Août 1917
  • 17.NAUDINAT Maurice classe 1917
  • Avril 1917
  • 18.GLEIZES Joseph classe 1918 engagé pour 4 ans
  • Mai 1917
  • 19.GUILLEMAT Raymond classe 1918
  • 20.MARTY Joseph classe 1918
  • Les classes 1888.1889 puis 1895 et plus anciennes ont été mobilisés à la terre pour la production agricole
  • En 1917 mois de Février
  • 21.RIVIERE Paul propriétaire à Gafalot
  • 22.MILHAU Charles mobilisé comme ouvrier agricole
  • 23.ALOUECH François « « «
  • 24.NAUDINAT Hippolyte exploitant
  • En 1918 mois de Février
  • 25.RIVIERE Paul rappelé au 143ème pour être versé catégorie B travailleurs agricoles en équipe
  • En 1918 mois d’Avril
  • 26.PENNAVAIRE Rémi
  • 27.ROUX François
  • 28.RAYMOND Marius

Le Vingt six Nivôse an IV

Le 26 décembre 1795: 

Un terrible fait divers l’assassinat d’une jeune fille de 15 ans

Aux archives départementales de l’Aude, registre de l’état civil de l’année 1795 nous pouvons lire un acte de décès  d’une jeune fille nommée Jeanne Belmas morte assassinée dans la ferme de La Bordeneuve, commune de Payra.

Ce jourd’hui 26 nivôse an IV de la République Française une et indivisible à 2 heures après midi par devant moi Victor Capriol agent municipal de la Commune de Payra, canton de Fendeille département de l’Aude ont comparu à la maison commune le citoyen Jean Germain Marie Hébrail juge de paix officier de police judiciaire du présent canton demeurant dans la commune de Mireval lequel assisté du citoyen Jean Pierre Magloire Palmade homme de loi âgé de 29 ans et de Jean Gleizes cultivateur âgé de 36 ans tous les deux domiciliés dans la commune de Payra Fendeille chef-lieu de canton lequel juge de paix a déclaré à moi Victor Capriol qu’ayant été instruit par la plainte à lui rendue aujourd’hui 26 nivôse par Pierre Ourniac Maître valet à la métairie dite du village à Fendeille qu’une fille appelée Jeanne Belmas était morte de mort violente à la métairie dite de Bordeneuve dans la présente commune appartenant au citoyen Gauzy Espagnol Il s’était transporté sur le lieu et y avait rédigé le procès verbal dont la teneur suit.

..Avons requis Jean Belmas de nous indiquer le lieu où était gisante sa fille et de suite il nous a conduit dans une chambre donnant au midi au 1er étage de la maison où était déposé le corps que nous avons trouvé accroupi sur un tas de …..grain dit (panarelle ???) en la ditte chambre sur lequel tas il paraît que la ditte fille avait été égorgée à raison de la quantité de sang qui était autour d’elle ….

Les moissons

La récolte des céréales était faite jusqu’au début du 20ème siècle à la main avec faux et faucilles. Les paysans faisaient des gerbes qui, entassées, créaient des meules mises à sécher. Le battage  (le dépiquage) était l’opération qui consistait à séparer le grain de la paille, toutes ces actions, récolte et battage, demandaient une main d’oeuvre nombreuse qui obligeait les paysans à se regrouper. Ces travaux durs et pénibles étaient aussi l’occasion de travailler dans la bonne humeur, de faire des plaisanteries et de faire la fête. Le battage se faisait au fléau sur une ère (sol) plane ou avec une meule. (dépiquage animal) voir photographie ci-dessous

Vint par la suite les moissonneuses-lieuses et le battage mécanique

Photographies de Simon Ramplou prises au domaine de la Tour d’Antioche.

Simon Ramplou raconte

Les chantiers de Jeunesse

Les Chantiers de Jeunesse était une organisation paramilitaire dirigée par le général Joseph de la Porte du Theil. Ces chantiers étaient un lieu de formation et d’encadrement de la jeunesse Française.

L’Armistice du 22 juin 1940 ayant supprimé le service militaire, les chantiers de jeunesse furent créés comme substitut le 30/07/40

Le journal officiel et ses neuf articles.

Le chantier de jeunesse Montcalm N°36 était basé à Casteljaloux dans le Lot et Garonne.

Il fut dissous en 1942.

Sa devise Manibus Nostra Patria Vivet : de nos mains notre Patrie vivra

Simon Ramplou et Clotaire Bousquet de Mézerville faisaient partis du même chantier. L’un comme muletier l’autre comme comptable.

Simon raconte que pendant quinze jours il travailla avec d’autres camarades à couper et rentrer les foins d’une vieille famille noble de France la famille de Brocas possédant le château de Carnine

31 août 2017

Simon Ramplou raconte

Simon Ramplou est le doyen du village, c’est un être passionnant par sa culture paysanne et sa mémoire phénoménale. Il a traversé le 20ème siècle dans ce pays de cocagne qu’est la Piège et c’est toujours avec beaucoup d’intérêt que je l’écoute parler du temps jadis.

Louis Ramplou et ses copains de régiment.

Hier nous avons parlé de cette sale guerre que fut la guerre de 14/18, celle que nous appelons la Grande Guerre et Simon m’a parlé tout naturellement de son père Louis, paysan de la Piège et de son parcours avant et après ces horribles tranchées.

Louis Ramplou est né en 1890 à Gourvieille. Très tôt orphelin, il est élevé au château de Belflou et devient à 14 ans valet de ferme à Saint Hubert. En 1908 il demeure à l’Estrade et après le conseil de révision à Salle sur l’hers est engagé pour trois ans dans l’armée. Ses trois ans accomplis, la guerre de 14/18 est déclarée et Louis Ramplou  repart pour 4 ans dans l’enfer de cette guerre. Il est affecté au 6ème bataillon des Chasseurs Alpins et après bien des épisodes terribles, horribles qu’il racontera plus tard à Simon et à ses frères, il a le bonheur de revenir, de rentrer au Pays et de s’installer en 1919 comme ouvrier agricole au domaine de la Tour. En 1926 il prend un métayage à moitié.

Simon a pris cette photographie de son père Louis Ramplou et ses deux frères Henri et Justin. 

25 août 2017

Photographie de la classe de Simon Ramplou (1929.1931) 

Année scolaire 1929.1930 Institutrice Mlle Reynès 

24 août 2017

Le petit train de la Piège

A ce carrefour menant de Villeneuve la Comptal à Montauriol et de Payra à Cumiès se trouve un lieu dit « la Gare », effectivement le train venant de Castelnaudary direction Belpech empruntait cette voie.

Au début du 20ème siècle la Piège produisait des grains et des fourrages et alimentait toute la partie est du département où l’on ne cultivait que la vigne. Les transport par charrettes étaient si longs, si difficiles et si onéreux que dans tout le canton de Belpech au lieu d’envoyer les marchandises sur Castelnaudary, on préfère les transporter directement sur Mazères et Saverdun dans le département de l’Ariège, pour les embarquer à destination de Narbonne. Les marchandises expédiées de Belpech transitaient par Toulouse avant de redescendre sur Castelnaudary, jusqu’aux régions viticoles par la voie du canal du midi effectuant un parcours inutile de Belpech à Castelnaudary estimé à 140 kilomètres. L’installation d’une ligne de chemin de fer de ce petit pays agricole s’imposait. Ce cordon ombilical devait ramener vers la capitale Lauragaise toute l’activité économique.

Le petit train né du progrès technique rendit de grands services à la Piège. Il était aimé de ses habitants et disparut victime du progrès. Le transport par autobus assuré la Société Générale des Transports départementaux présentait une supériorité évidente sur les autre système de traction. L’autobus s’arrête au centre du village alors que la station du tranway en est souvent très éloignée et son itinéraire souple peut être modifié à la demande, enfin vitesse et confort sont appréciés du public. Le petit train assurera néanmoins une transition utile entre la diligence et l’automobile.

d’après Auguste Armengaud.

Le 7 juin 1917, à la Côte de Samson, la locomotive s’est déversée à gauche du train entraînant 4 wagons de marchandises portant 29 tonnes de blé, la voiture à voyageurs et un fourgon. 

Un voyageur a été légèrement blessé par un bris de glace. Le mécanicien Chavanac sérieusement contusionné et le chauffeur Rivière qui a eu le bras droit broyé sont restés tous les deux sur leur machine

Payra vue de l’Est

19 août 2017

La Chasse  

documents et photographies appartenant à M.Siméon Ramplou

7 août 2017

Mon voisin, Simon Ramplou, m’a prêté un album concernant l’historique du club des aînés de Payra-Montauriol qui deviendra par la suite le club des 4 saisons.. 

Léon Gay et Jacqueline Bousquet

Recensement 1836

Aux archives départementales de l’Aude nous avons tous les recensements du Village et des fermes de Payra depuis 1836 à 1891.En 1836 la population globale de Payra est de 581 habitants la commune. Ils sont classés suivant leur sexe, leur situation familiale.173 garçons 116 hommes mariés 17 veufs 135 filles 116 femmes mariées 24 veuves 306 personnes de sexe masculin 275 personnes de sexe féminin

RecensementS 1881.1886.1891

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Documents d’archives    Récolte des céréales en 1915 Blé – Avoine – Orge

Le bétail sur la commune de Payra

le 22 décembre 1916

Dans les archives familiales un document écrit à la plume daté du 22 décembre 1916 donne le nombre de têtes de bétail ( Boeufs, Vaches, jeunes) pour chaque fermier de la commune de Payra ainsi que le nom de toutes les campagnes qui la constituent.

Les Commerces de Payra

Hier, il y avait plusieurs commerces, deux cafés, une épicerie et une boulangerie.

le café de Colombe, le café épicerie d’Alice Thalabas et la boulangerie de M. Elie Cazanave/

hier devant l’épicerie familiale on reconnait Jacqueline, Marie Thérèse, Alice au premier rang de gauche à droite Odile debout à gauche et Odette, soeur d’Alice 4ème debout.

Payra hier et aujourd’hui

Actuelle rue de la Mare au N°25 la maison de la famille Picarel dans les années 50 et aujourd’hui en 2016.

Remarquez la construction près de la fenêtre de la cuisine qui était l’emplacement réservé au cochon.

Entrées et sorties

Payra a conservé quelques ouvertures qui datent du début du 19ème siècle. Certaines portes sont certainement plus anciennes voir ci-dessous

La Tour d’Antioche